9 septembre
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L’abbé se conduira avec discernement et modération.
(Règle de Saint Benoît 64,17)
(Règle de Saint Benoît 64,17)
La
Règle de Saint Benoît…
RB
1,6-13 (Les catégories de
moines)
⁶La troisième catégorie de moines, fort détestable, est celle des
sarabaïtes ⁷ils demeurent fidèles au monde dans leur conduite, et,
visiblement, mentent à Dieu par leur tonsure. ⁸Ils vivent deux ou trois
ensemble, ou même tout seuls, sans pasteur, renfermés dans leur propre
bergerie, et non dans celle du Seigneur. La satisfaction de leurs désirs leur
sert de loi: ⁹ils tiennent pour saint tout ce qu'ils pensent ou préfèrent, et
regardent comme illicite ce qui leur déplaît. ¹⁰La quatrième catégorie de moines
est celle des gyrovagues. Ils passent toute leur vie à courir de province en
province, séjournant trois ou quatre jours dans les cellules les uns des
autres. ¹¹Toujours en route, jamais stables, esclaves de leurs volontés
propres et des plaisirs de la bouche, ils sont pires en tout que les
sarabaïtes. ¹²Mais mieux vaut se taire que de parler de la misérable condition
de tous ces gens. ¹³Laissons donc ces diverses catégories de moines; et, avec
l'aide du Seigneur, venons-en à organiser la si puissante catégorie des
cénobites.
…
pour chaque jour
« Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos
des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit,
celui-là est un voleur et un bandit. Celui qui entre par la porte, c’est le
pasteur, le berger des brebis. Le
portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les
appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a poussé dehors
toutes les siennes, il marche à leur tête, et les brebis le suivent, car elles
connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un étranger, mais elles
s’enfuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des
étrangers. »
Jésus employa cette image pour s’adresser à eux, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait.
C’est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. »
Jésus employa cette image pour s’adresser à eux, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait.
C’est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. »
(Jean 10,1-16 – La Bible – AELF)
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