18 octobre
C’est
de bon cœur
que les disciples doivent obéir parce que
« Dieu aime celui qui donne joyeusement ».
(Règle de Saint Benoît 5,16)
que les disciples doivent obéir parce que
« Dieu aime celui qui donne joyeusement ».
(Règle de Saint Benoît 5,16)
La
Règle de Saint Benoît…
RB
14,1-2 (Comment on célèbre
les vigiles aux fêtes des saints)
¹Aux fêtes des Saints et à toutes les solennités, on fera l'office de
nuit comme le dimanche, ²sauf qu'on dira les psaumes, antiennes et leçons
propres au jour même (de la fête). Pour la quantité, on gardera la mesure
prescrite ci-dessus.
…
pour chaque jour
J'ai dit :
« Je garderai mon chemin sans laisser ma langue s'égarer ;
je garderai un bâillon sur ma bouche,
tant que l'impie se tiendra devant moi. »
Je suis resté muet, silencieux ;
je me taisais, mais sans profit.
Mon tourment s'exaspérait, mon cœur brûlait en moi.
Quand j'y pensais, je m'enflammais, et j'ai laissé parler ma langue.
Seigneur, fais-moi connaître ma fin, quel est le nombre de mes jours :
je connaîtrai combien je suis fragile.
Vois le peu de jours que tu m'accordes :
ma durée n'est rien devant toi.
L'homme ici-bas n'est qu'un souffle ;
il va, il vient, il n'est qu'une image.
Rien qu'un souffle, tous ses tracas ; il amasse, mais qui recueillera ?
Maintenant, que puis-je attendre, Seigneur ? Elle est en toi, mon espérance.
Délivre-moi de tous mes péchés, épargne-moi les injures des fous.
Je me suis tu, je n'ouvre pas la bouche, car c'est toi qui es à l'œuvre.
Éloigne de moi tes coups : je succombe sous ta main qui me frappe.
Tu redresses l'homme en corrigeant sa faute,
tu ronges comme un ver son désir ;
l'homme n'est qu'un souffle.
Entends ma prière, Seigneur, écoute mon cri ;
ne reste pas sourd à mes pleurs.
Je ne suis qu'un hôte chez toi, un passant, comme tous mes pères.
Détourne de moi tes yeux,
que je respire avant que je m'en aille et ne sois plus.
« Je garderai mon chemin sans laisser ma langue s'égarer ;
je garderai un bâillon sur ma bouche,
tant que l'impie se tiendra devant moi. »
Je suis resté muet, silencieux ;
je me taisais, mais sans profit.
Mon tourment s'exaspérait, mon cœur brûlait en moi.
Quand j'y pensais, je m'enflammais, et j'ai laissé parler ma langue.
Seigneur, fais-moi connaître ma fin, quel est le nombre de mes jours :
je connaîtrai combien je suis fragile.
Vois le peu de jours que tu m'accordes :
ma durée n'est rien devant toi.
L'homme ici-bas n'est qu'un souffle ;
il va, il vient, il n'est qu'une image.
Rien qu'un souffle, tous ses tracas ; il amasse, mais qui recueillera ?
Maintenant, que puis-je attendre, Seigneur ? Elle est en toi, mon espérance.
Délivre-moi de tous mes péchés, épargne-moi les injures des fous.
Je me suis tu, je n'ouvre pas la bouche, car c'est toi qui es à l'œuvre.
Éloigne de moi tes coups : je succombe sous ta main qui me frappe.
Tu redresses l'homme en corrigeant sa faute,
tu ronges comme un ver son désir ;
l'homme n'est qu'un souffle.
Entends ma prière, Seigneur, écoute mon cri ;
ne reste pas sourd à mes pleurs.
Je ne suis qu'un hôte chez toi, un passant, comme tous mes pères.
Détourne de moi tes yeux,
que je respire avant que je m'en aille et ne sois plus.
(Psaume 38,2-14 – La Bible – AELF)

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