12 novembre
On
n’accordera pas facilement l’entrée du monastère
à celui qui vient s’y engager dans la vie religieuse…
(Règle de Saint Benoît 58,1)
à celui qui vient s’y engager dans la vie religieuse…
(Règle de Saint Benoît 58,1)
La
Règle de Saint Benoît…
RB 35,1-11 (Les semainiers de la cuisine)
¹Les frères se serviront mutuellement. Personne ne sera dispensé du
service de la cuisine, sinon pour cause de maladie ou pour quelque occupation
de grande utilité. ²Par cet exercice, en effet, on acquiert plus de mérite et
de charité. ³On donnera des aides à ceux qui sont faibles, afin qu'ils
s'acquittent de leur tâche sans tristesse. ⁴Tous auront ainsi des aides, selon
que le demandera l'état de la communauté ou la situation du lieu. ⁵Si la
communauté est nombreuse, le cellérier sera dispensé du service de la cuisine,
ainsi que ceux qui, comme nous l'avons dit, sont occupés à des besognes plus
utiles ; ⁶mais tous les autres se serviront mutuellement avec charité. ⁷Celui
qui sort de semaine fera, le samedi, les nettoyages. ⁸Il lavera les linges avec
lesquels les frères s'essuient les mains et les pieds. ⁹Aidé de celui qui
entre en service, il lavera les pieds de tous les frères. ¹⁰Il remettra au
cellérier, propres et en bon état, les objets de son office. ¹¹Le cellérier
les passera à celui qui entre en semaine; il saura ainsi ce qu'il donne et ce
qu'il reçoit.
…
pour chaque jour
Donc, lorsque vous vous réunissez tous ensemble, ce n’est plus le repas
du Seigneur que vous prenez ; en effet,
chacun se précipite pour prendre son propre repas, et l’un reste affamé, tandis
que l’autre a trop bu.
N’avez-vous donc pas de maisons pour manger et pour boire ? Méprisez-vous l’Église de Dieu au point d’humilier ceux qui n’ont rien ? Que puis-je vous dire ? vous féliciter ? Non, pour cela je ne vous félicite pas !
J’ai moi-même reçu ce qui vient du Seigneur, et je vous l’ai transmis : la nuit où il était livré, le Seigneur Jésus prit du pain, puis, ayant rendu grâce, il le rompit, et dit : « Ceci est mon corps, qui est pour vous. Faites cela en mémoire de moi. » Après le repas, il fit de même avec la coupe, en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang. Chaque fois que vous en boirez, faites cela en mémoire de moi. » Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. Et celui qui aura mangé le pain ou bu la coupe du Seigneur d’une manière indigne devra répondre du corps et du sang du Seigneur.
On doit donc s’examiner soi-même avant de manger de ce pain et de boire à cette coupe. Celui qui mange et qui boit mange et boit son propre jugement s’il ne discerne pas le corps du Seigneur.
N’avez-vous donc pas de maisons pour manger et pour boire ? Méprisez-vous l’Église de Dieu au point d’humilier ceux qui n’ont rien ? Que puis-je vous dire ? vous féliciter ? Non, pour cela je ne vous félicite pas !
J’ai moi-même reçu ce qui vient du Seigneur, et je vous l’ai transmis : la nuit où il était livré, le Seigneur Jésus prit du pain, puis, ayant rendu grâce, il le rompit, et dit : « Ceci est mon corps, qui est pour vous. Faites cela en mémoire de moi. » Après le repas, il fit de même avec la coupe, en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang. Chaque fois que vous en boirez, faites cela en mémoire de moi. » Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. Et celui qui aura mangé le pain ou bu la coupe du Seigneur d’une manière indigne devra répondre du corps et du sang du Seigneur.
On doit donc s’examiner soi-même avant de manger de ce pain et de boire à cette coupe. Celui qui mange et qui boit mange et boit son propre jugement s’il ne discerne pas le corps du Seigneur.
(I Corinthiens 11,20-29 – La Bible – AELF)
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