25 novembre
Nul
ne cherchera ce qu’il juge utile pour soi,
mais bien plutôt ce qui l’est pour autrui.
(Règle de Saint Benoît 72,7)
mais bien plutôt ce qui l’est pour autrui.
(Règle de Saint Benoît 72,7)
La
Règle de Saint Benoît…
RB
46,1-6 (Ceux qui font des
fautes en quelque autre chose)
¹Lorsqu'un moine dans un travail quelconque à la cuisine, au cellier,
dans un service, à la boulangerie, au jardin, dans l'exercice d'un métier, ou
en quelque lieu que ce soit, fait une faute, ²brise ou perd quelque chose, ou
commet un autre délit, ³il ira aussitôt s'en accuser spontanément devant
l'abbé et la communauté. S'il ne le fait pas ⁴et que son manquement soit connu
par un autre, il subira une peine plus sévère. ⁵Mais s'il s'agit d'un péché
secret de l'âme, il le manifestera seulement à son abbé ou aux pères
spirituels, ⁶qui sachent guérir et leurs propres plaies et celles des autres
sans les découvrir ni les divulguer.
…
pour chaque jour
Quant à Jésus, il s’en alla au mont des Oliviers. Dès l’aurore, il
retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à
enseigner. Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait
surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à
Jésus : « Maître, cette femme a été
surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que
dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de
pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la
terre.
Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.
Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. » De nouveau, Jésus leur parla : « Moi, je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la lumière de la vie. »
Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.
Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. » De nouveau, Jésus leur parla : « Moi, je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la lumière de la vie. »
(Jean 8,1-12 – La Bible – AELF)
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