4 novembre
On ne préférera donc rien à
l’Œuvre de Dieu.
(Règle de Saint Benoît 43,3)
(Règle de Saint Benoît 43,3)
La
Règle de Saint Benoît…
RB 28,1-8 (Ceux qui, souvent repris, refusent de se corriger)
¹Si un frère, après avoir été fréquemment repris pour quelque faute et
même après avoir été excommunié, ne s'amende pas, on lui infligera une
correction plus rude, c'est-à-dire on procédera contre lui par le châtiment des
verges. ²Que s'il ne se corrige pas encore, ou que, peut-être, enflé
d'orgueil, ce que Dieu ne permette pas, il veuille même défendre sa conduite,
l'abbé fera alors ce que fait un sage médecin : ³employer les cataplasmes, les
onguents des exhortations, les remèdes des divines Écritures, enfin la brûlure
de l'excommunication et les coups de verges. ⁴S'il voit que toute son habileté
n'a rien obtenu, il emploiera alors un moyen plus efficace, sa prière et celle
de tous les frères pour lui, ⁵afin que le Seigneur, qui peut tout, rende la santé
à ce frère malade. ⁶Mais si ce remède n'opérait pas la guérison, l'abbé
prendra alors le fer qui retranche, selon la parole de l'Apôtre: « Otez le
mal d'entre vous. » ⁷Et encore: « Si l'infidèle s'en va, qu'il s'en
aille », ⁸de peur qu'une brebis malade ne contamine tout le troupeau.
…
pour chaque jour
Honore à sa juste valeur le médecin pour ses
services :
le Seigneur l’a créé, lui aussi.
C’est du Très-Haut, en effet, qu’il tient son art de guérir,
et le roi lui-même lui fait des présents.
La science du médecin lui fait porter la tête haute,
auprès des grands il est admiré.
Le Seigneur a créé les plantes médicinales,
l’homme avisé ne les méprise pas.
Le bois n’a-t-il pas jadis adouci l’amertume des eaux,
pour faire connaître par là sa vertu ?
Le Seigneur lui-même a donné la science à des hommes,
pour qu’ils le glorifient dans ses merveilles.
Le médecin utilise les plantes pour soigner et ôter la douleur,
le pharmacien en fait des préparations.
Ainsi l’œuvre de Dieu ne se termine pas :
le bien-être qui vient de lui s’étend sur la face de la terre.
Mon fils, quand tu es malade, ne te décourage pas,
mais prie le Seigneur, et lui te guérira.
Renonce à ta conduite mauvaise, agis avec droiture,
et, de tout péché, purifie ton cœur.
le Seigneur l’a créé, lui aussi.
C’est du Très-Haut, en effet, qu’il tient son art de guérir,
et le roi lui-même lui fait des présents.
La science du médecin lui fait porter la tête haute,
auprès des grands il est admiré.
Le Seigneur a créé les plantes médicinales,
l’homme avisé ne les méprise pas.
Le bois n’a-t-il pas jadis adouci l’amertume des eaux,
pour faire connaître par là sa vertu ?
Le Seigneur lui-même a donné la science à des hommes,
pour qu’ils le glorifient dans ses merveilles.
Le médecin utilise les plantes pour soigner et ôter la douleur,
le pharmacien en fait des préparations.
Ainsi l’œuvre de Dieu ne se termine pas :
le bien-être qui vient de lui s’étend sur la face de la terre.
Mon fils, quand tu es malade, ne te décourage pas,
mais prie le Seigneur, et lui te guérira.
Renonce à ta conduite mauvaise, agis avec droiture,
et, de tout péché, purifie ton cœur.
(Siracide 38,1-10 – La Bible – AELF)
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