9 janvier
Les
offices des Laudes et des Vêpres
ne devront jamais se conclure sans que le supérieur dise,
en dernier lieu, en entier, et au milieu de l’attention générale,
l’oraison dominicale,
à cause des épines de querelles
qui ont accoutumé de se produire.
(Règle de Saint Benoît 13,12)
ne devront jamais se conclure sans que le supérieur dise,
en dernier lieu, en entier, et au milieu de l’attention générale,
l’oraison dominicale,
à cause des épines de querelles
qui ont accoutumé de se produire.
(Règle de Saint Benoît 13,12)
La
Règle de Saint Benoît…
RB
1,6-13 (Les catégories de
moines)
⁶La troisième catégorie de moines, fort détestable, est celle des
sarabaïtes ⁷ils demeurent fidèles au monde dans leur conduite, et,
visiblement, mentent à Dieu par leur tonsure. ⁸Ils vivent deux ou trois
ensemble, ou même tout seuls, sans pasteur, renfermés dans leur propre
bergerie, et non dans celle du Seigneur. La satisfaction de leurs désirs leur
sert de loi: ⁹ils tiennent pour saint tout ce qu'ils pensent ou préfèrent, et
regardent comme illicite ce qui leur déplaît. ¹⁰La quatrième catégorie de
moines est celle des gyrovagues. Ils passent toute leur vie à courir de
province en province, séjournant trois ou quatre jours dans les cellules les
uns des autres. ¹¹Toujours en route, jamais stables, esclaves de leurs
volontés propres et des plaisirs de la bouche, ils sont pires en tout que les
sarabaïtes. ¹²Mais mieux vaut se taire que de parler de la misérable condition
de tous ces gens. ¹³Laissons donc ces diverses catégories de moines; et, avec
l'aide du Seigneur, venons-en à organiser la si puissante catégorie des
cénobites.
…
pour chaque jour
Ânesse habituée au désert, dans l’ardeur de son désir, elle aspire le vent : son rut, qui peut
le refouler ? Ils n’ont pas à se fatiguer, tous ceux qui la
cherchent : en son temps, ils la trouvent !
Prends garde, tu vas avoir les pieds nus, et le gosier assoiffé. Mais tu dis : « Rien à faire ! Non, j’aime les étrangers et je veux courir à leur suite ! »
Comme est confondu un voleur pris sur le fait, ainsi sont confondus les gens de la maison d’Israël, leurs rois, leurs princes, leurs prêtres et leurs prophètes, eux qui disent au bois : « Tu es mon père », et à la pierre : « Toi, tu m’as enfanté. » Ils tournent vers moi leur dos, non leur visage ; mais au temps de leur malheur, ils disent : « Lève-toi ! Sauve-nous ! »
Où sont-ils, les dieux que tu t’es fabriqués ? Qu’ils se lèvent, s’ils peuvent te sauver au temps de ton malheur ! Oui, tes dieux sont aussi nombreux que tes villes, ô Juda ! Pourquoi donc me faire un procès ? Vous vous êtes tous révoltés contre moi, – oracle du Seigneur. En vain, j’ai frappé vos fils : ils n’ont pas accepté la leçon. Votre épée a dévoré vos prophètes, comme un lion destructeur. Ô vous, gens de cette génération, voyez ce que dit le Seigneur : Ai-je été un désert pour Israël ? Ai-je été un pays de ténèbres ? Pourquoi ceux de mon peuple disent-ils : « Nous errons çà et là, nous n’allons plus vers toi » ?
Prends garde, tu vas avoir les pieds nus, et le gosier assoiffé. Mais tu dis : « Rien à faire ! Non, j’aime les étrangers et je veux courir à leur suite ! »
Comme est confondu un voleur pris sur le fait, ainsi sont confondus les gens de la maison d’Israël, leurs rois, leurs princes, leurs prêtres et leurs prophètes, eux qui disent au bois : « Tu es mon père », et à la pierre : « Toi, tu m’as enfanté. » Ils tournent vers moi leur dos, non leur visage ; mais au temps de leur malheur, ils disent : « Lève-toi ! Sauve-nous ! »
Où sont-ils, les dieux que tu t’es fabriqués ? Qu’ils se lèvent, s’ils peuvent te sauver au temps de ton malheur ! Oui, tes dieux sont aussi nombreux que tes villes, ô Juda ! Pourquoi donc me faire un procès ? Vous vous êtes tous révoltés contre moi, – oracle du Seigneur. En vain, j’ai frappé vos fils : ils n’ont pas accepté la leçon. Votre épée a dévoré vos prophètes, comme un lion destructeur. Ô vous, gens de cette génération, voyez ce que dit le Seigneur : Ai-je été un désert pour Israël ? Ai-je été un pays de ténèbres ? Pourquoi ceux de mon peuple disent-ils : « Nous errons çà et là, nous n’allons plus vers toi » ?
(Jérémie 2,24-31 – La Bible – AELF)
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